actualités de la galerie
21 mars 2025
Nouvelle Collection
Nymphes de Clara Diebler : Cette série exceptionnelle nous convie à une rencontre intime entre la féminité et la nature, capturant la douceur et la sensualité féminine au cœur d'une nature luxuriante et abondante.
Inspirée par la figure mythologique de Chloris, la nymphe des fleurs, Clara Diebler rend hommage à la douceur profonde des femmes en les entourant de feuillages luxuriants et de fleurs éclatantes. Chaque image, réalisée en argentique et en double exposition, résulte d'un processus de superposition minutieux qui aboutit à un effet subtil et raffiné.
L'utilisation de la couleur est centrale dans cette collection. Les teintes vibrantes et les contrastes saisissants renforcent l'harmonie entre les sujets féminins et leur environnement naturel, créant une symbiose visuelle qui évoque une sensation de sérénité et de contemplation.
31 janvier 2025
Nouvel Artiste
Nous sommes ravis d’annoncer que Jaroslav, artiste reconnu pour sa maîtrise de la photographie liquide, rejoint officiellement notre galerie. Son approche unique, mêlant jeux de lumière et fluidité, donne naissance à des clichés envoûtants où l’eau devient l’élément central de la composition. Avec Jaroslav, nous ouvrons de nouveaux horizons artistiques, célébrant toute la magie et la poésie qu’offre cet univers liquide.
17 janvier 2025
HOMMAGE
Hier, lundi 16 janvier, le monde a perdu une figure emblématique du cinéma et de l'art. David Lynch, réalisateur, artiste visuel et visionnaire, s’est éteint, laissant derrière lui un héritage incomparable. À la Galerie Idan Wizen, nous souhaitons rendre hommage à cet homme dont le travail a profondément influencé non seulement le cinéma, mais aussi ma propre vision en tant qu’artiste et galeriste.
les artistes de la galerie
Nous représentons actuellement une vingtaine d’artistes, allant de jeunes talents à des artistes de renommée internationale. Principalement axé sur la photographie, mais pas uniquement, notre large éventail de techniques et de talents artistiques vous permet de choisir l’œuvre qui vous convient le mieux.
Le photographe français Louis Blanc est né en 1956 et vit à Toulouse depuis plus de dix ans. Blanc n'a jamais reçu d'éducation formelle en photographie et a appris à maîtriser sa technique seul. Il publie ses travaux sur des forums de photographie et participe à des concours. Des années 1980 aux années 2000, il expérimente différents appareils photo, dont un Minolta et un compact numérique. Après avoir passé un certain temps à perfectionner son art et à acquérir une vaste expérience, il décide de passer à un reflex en 2010. Avec son nouvel équipement, il a pu se concentrer sur ses principaux centres d'intérêt et a donné naissance à son projet CORpuS en 2011.
L'idée de cette série lui est venue après avoir remporté un concours sur un forum. CORpuS a été une expérience enrichissante pour Blanc, car il s'est rendu compte que l'image du corps était quelque chose qui évoquait beaucoup d'émotions et de réflexions profondes. Comme on peut le voir, les images de CORpuS ont un arrière-plan neutre, car le corps contorsionné suffit amplement à susciter la conviction.
Le processus artistique de Blanc commence par une idée non définie, un peu comme un brainstorming, mais le résultat final est le point culminant de nombreux plans et redirections, ce qui le rend à la fois intentionnel et non planifié. En outre, Blanc n'évite pas de placer le corps dans des poses dérangeantes. En fait, la plupart des images de CORpuS repoussent les limites du corps humain. Les images ont été réalisées en autoportrait, à l'aide d'un retardateur et d'une télécommande.
Louis Blanc émerge dans le monde de la photographie depuis une dizaine d'années, et son travail n'est pas exempt d'éloges. En 2014, il a rejoint la communauté des artistes soutenus par Maecene Arts. La série CORpuS s'est fait connaître dans toute la France, étant publiée dans de nombreux magazines dont La Provence et Réponses Photo. Au fil des ans, cette série a fait l'objet de plus de 40 expositions internationales, notamment en France, en Russie, à New York, au Japon, en Italie et à Prague. Il a également été publié dans le magazine Monaco Culture de Monaco et dans la Tribune de Genève en Suisse. Il va sans dire que le monde entier devrait garder un œil sur les prochaines réalisations de Louis Blanc.
Le parcours artistique de Dina Goldstein s'étend sur plus de trois décennies. D'abord photojournaliste, elle est devenue une artiste indépendante qui se consacre à la photographie narrative élaborée. Son travail témoigne d'un commentaire social complexe, mêlant archétypes culturels et imagerie collective à des récits enracinés dans l'expérience humaine. S'inspirant du surréalisme, Dina construit des compositions qui mettent à nu les dessous de la vie contemporaine, remettant en question les influences culturelles dominantes et les systèmes de croyance profondément ancrés.
En 2007, Dina Goldstein s'est embarquée dans un voyage spécifique, alimenté par des expériences personnelles et une vision critique de l'histoire du "bonheur éternel" perpétuée par Disney et adoptée par la société occidentale. En tant que féministe et nouvellement mère, elle s'est opposée à la représentation stéréotypée des femmes et des filles dans les histoires de Disney. Sa série "Fallen Princesses" (2007-2009) met en scène des princesses de contes de fées humanisées et confrontées à des défis modernes tels que le cancer, la toxicomanie, l'obésité, la guerre et la dégradation de l'environnement. Ce travail poignant lui a valu le prix Virginia en 2014, un prix international pour les femmes photographes, et a donné lieu à des expositions à Paris, au Quebec et aux USA.
Le projet suivant de Dina, "In The Dollhouse" (2012), se déroule dans une maison de poupée grandeur nature, conceptualisée de manière complexe, habitée par des poupées humaines Barbie et Ken. Dans cette réalité alternative, Barbie subit une transformation en coupant ses emblématiques mèches blondes, tandis que Ken se lance dans un voyage à la découverte de soi. La série suscite des discussions sur les idéaux de beauté inatteignables, le mythe de la perfection et la relation entre la beauté, le pouvoir et le bonheur. "In The Dollhouse" a été largement exposée, notamment dans le catalogue Frida Kahlo et Diego Rivera du musée d'Orsay et dans la collection FotoMuseo en Colombie.
Son ambitieux projet "Gods Of Suburbia" (2014) plonge dans le monde des religions établies et marginales. Les divinités de diverses traditions sont dépeintes comme mortelles, s'adaptant aux défis de la vie moderne. En offrant une interprétation iconoclaste de la façon dont les systèmes de croyance anciens se croisent avec les piliers de la modernité - la technologie, la science et la laïcité - les créations surréalistes de Dina incitent les spectateurs à contempler la pertinence de l'éthique ancienne et des systèmes de croyance durables. La série a été exposée dans le monde entier, "The Last Supper" ayant trouvé un écho particulier en Italie.
Mathilde Oscar est née à Paris en 1980, elle vit et travaille à Cannes.
Elle incarne une artiste multifacette dont l’évolution artistique est aussi fascinante que diversifiée. Son parcours artistique est une odyssée qui fusionne la passion de la peinture, l’étude approfondie de l’histoire de l’art, le graphisme, et la photographie, pour finalement donner naissance à un langage visuel singulier.
Au commencement, Mathilde Oscar a exploré les méandres de la peinture, un médium qui a capturé son cœur et son esprit. Cette période a été une exploration enrichissante de la créativité, façonnant ainsi sa perception artistique. L’histoire de l’art est devenue son alliée, lui offrant une profonde compréhension des maîtres classiques qui ont marqué les siècles passés. Au fil des années, Mathilde a élargi son horizon créatif pour se plonger dans le monde du graphisme. Cette immersion a été une période de transformation où elle a affiné sa maîtrise des formes, des couleurs et des compositions visuelles. Cependant, ce n’était que le prélude à une métamorphose plus significative.
En 2013, de manière autodidacte, elle choisit la photographie comme moyen d’expression, offrant une toile nouvelle à ses idées picturales profondément enracinées dans les mouvements artistiques allant de la Renaissance au Néo-classicisme.
Dans ses photographies, Mathilde Oscar parvient à capturer une atmosphère saisissante, conférant à ses œuvres une qualité quasi-picturale. Son processus créatif implique fréquemment la fabrication minutieuse de décors, de costumes et d’accessoires, bien que certaines de ses inspirations puissent s’agrémenter d’éléments numériques qui viennent s’harmoniser dans sa composition photographiée.
Ce qui distingue véritablement Mathilde est son talent pour entrelacer les codes de la peinture classique avec la photographie contemporaine et la culture pop. Ses portraits, souvent anachroniques et décalés, défient les conventions et semblent suspendus dans un espace-temps insaisissable, tout en regorgeant de références subtiles à l’histoire de l’art.
Son univers artistique est d’une grande variété. Tantôt romantique, tantôt imprégné de surréalisme, il est marqué par un trait d’humour subtil. Les personnages qu’elle capture deviennent des icônes intemporelles, tandis que ses portraits féminins revêtent une aura de Madones, et ses figures masculines (qu’elle prend plaisir à réinventer au féminin) semblent revisiter des archétypes christiques.
En somme, Mathilde Oscar est une artiste qui transcende les frontières artistiques, faisant fusionner le passé et le présent, la peinture et la photographie, pour donner naissance à un monde visuel captivant.
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