Dina Goldstein
L’odyssée créative de Dina Goldstein se déploie sur trois décennies, passant du photojournalisme à une exploration audacieuse de la photographie narrative. Son œuvre se présente comme une critique complexe des normes sociétales, entrelaçant des symboles culturels emblématiques et des motifs visuels partagés avec des histoires ancrées dans l’essence de la condition humaine. L’art de Dina, enraciné dans les principes du surréalisme, dévoile les complexités de l’existence moderne, questionnant les récits culturels dominants et les idéologies enracinées qui façonnent nos perceptions.
Initiée en 2007, l’entreprise artistique de Goldstein, inspirée par ses réflexions personnelles et une perspective scrutatrice sur les notions conventionnelles du “happily ever after” propagées par les narratifs Disney et largement acceptées dans la culture occidentale, plonge dans les vies réimaginées des princesses de contes de fées à travers sa série “Fallen Princesses” (2007-2009). En tant que féministe et mère d’une fille, elle critique les représentations traditionnelles de la féminité et de l’enfance dans les contes de Disney. Ses portraits de princesses aux prises avec des problèmes contemporains tels que la maladie, l’addiction, les crises environnementales et la guerre ont largement résonné, aboutissant à sa réception du prestigieux Prix Virginia en 2014, une distinction internationale pour les photographes femmes, et à la présentation de son travail dans des expositions à travers Paris, Québec et les États-Unis.
Son entreprise suivante, “In The Dollhouse” (2012), révèle une narration située dans une maison de poupée à échelle réelle méticuleusement conçue où des versions humaines de Barbie et Ken naviguent à travers les vicissitudes de la vie. Cette série éclaire l’absurdité de la poursuite de normes de beauté et de perfection inatteignables, et la dynamique complexe entre apparence, autorité et contentement. Elle a acquis une reconnaissance internationale, figurant dans le catalogue Frida Kahlo et Diego Rivera du Musee D’Orsay et devenant une partie de la collection FotoMuseo en Colombie.
Avec “Gods Of Suburbia” (2014), Goldstein s’aventure dans le domaine de l’iconographie religieuse, représentant des divinités de diverses foi aux prises avec les épreuves de la société contemporaine. Cette œuvre propose une vue provocatrice sur l’adaptation d’entités spirituelles ancestrales aux réalités façonnées par la technologie, la science et les valeurs laïques, incitant le public à réfléchir sur la signification durable des morales traditionnelles et des croyances dans le monde d’aujourd’hui. La collection a joui d’une reconnaissance mondiale, notamment “The Last Supper”, qui a attiré une attention significative en Italie.
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Dining Alone
From 1500 € -
Sleeping Beauty
From 2000 € -
Voodoo
From 1500 € -
Breakfast
From 2000 € -
The Dream
From 1700 € -
Lakshmi
From 1500 € -
Jasmine
From 1700 € -
Affair
From 1500 € -
Xenu
From 1500 € -
Belle
From 1700 € -
Haircut
From 1500 € -
Darwin
From 1500 € -
Ganesha
From 1500 € -
Muhammad
From 1500 € -
Rapunzel
From 1700 € -
Buddha
From 1500 € -
Bathroom Mirror
From 1500 € -
Pocahontas
From 1800 € -
Ariel
From 2000 € -
Tub & Toilet
From 2500 € -
Satan
From 1700 € -
Cinder
2500 € -
Passed Out
From 2000 € -
Wicca
From 1500 € -
Headless
From 1500 € -
Last Supper
From 1800 € -
Red Riding Hood
From 1800 € -
Bedroom Magazines
From 1800 € -
Snowy
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Elohim
From 1500 € -
Princess Pea
From 2000 €






























